L’histoire

Le panorama du moot court

Le Moot Court CEDH est né en 1996 à l’Université de Fribourg (Suisse), sous la direction du Professeur Nicolas Michel. Nommé secrétaire général adjoint aux affaires juridiques et conseiller juridique des Nations-Unies par Kofi Annan en 2004, le Professeur Michel a collaboré avec Madame le Professeur Florence Benoît-Rohmer dès 2003 pour organiser le concours en collaboration avec l’Université de Strasbourg. L’équipe d’organisation suisse s’est ainsi déplacée à Strasbourg pour permettre la continuité de l’exercice. Le concours est organisé séparément depuis 2005. 

A Strasbourg, il poursuivit encore six ans uniquement au sein du Master 2 Droits de l’Homme dirigé par la Professeure Florence Benoît-Rohmer et constitue l’un des exercices pratiques majeurs du master, auquel tous les étudiants sont tenus de participer. Pour stabiliser et pérenniser le concours, Florence Benoît-Rohmer a soutenu la création en 2006 d’une association appelée Plaider les droits de l’homme dont le siège est fixé à Strasbourg et dont elle assume la présidence.  

Depuis 2011, le moot court CEDH est ouvert à des

étudiants de l’Albert-Ludwig Universität de Fribourg-en-Brisgau (Allemagne) où l’exercice est placée sous la direction des professeurs Masing et Jestaedt. Chaque année, une dizaine d’étudiants allemands participe à cet exercice aux côtés des étudiants strasbourgeois, faisant de ce concours un exemple de collaboration franco-allemande. 

Les fondateurs du moot court

Le moot court CEDH a d’abord été porté par une équipe d’assistants du Professeur Nicolas Michel à Fribourg (Suisse).  Valérie Berset-Bircher, Matthieu Canevascini, Benoît Fournier et Michael Vonmoos, en particulier, ont grandement contribué à la pérennisation du concours en suivant son évolution en France. Pendant plusieurs années, ils ont eu la charge du concours, tant par l’aspect scientifique qu’organisationnel.

Les étapes d’évolution suivantes

Katharina Braig a été à l’origine du partenariat franco-allemand du moot court avec l’université de Fribourg-en-Brisgau. Elle a largement aidé à la mise en place d’un partenariat entre les deux universités et s’est occupée pendant plusieurs années de la venue des étudiants allemands à Strasbourg.

Pierre-Louis Roisné a permis au concours de se diriger vers ce qu’il est  aujourd’hui – un point de rencontre entre les différents acteurs des droits de l’homme – par la mise en place d’événements sociaux et culturels lors des principales étapes du concours afin de permettre aux participants d’échanger avec des experts des droits humains.

Tennessee Soudain a également accompagné cette évolution pendant plusieurs années en prenant une part active au sein de l’équipe permanente du moot court et en prenant en charge la gestion des équipes associées.

maj: février 2019